Depuis quelques années et selon l’Observer, l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, une crise immobilière revient de nouveau à la surface. En effet, il y a une pénurie des logements neufs qui ne fait que s’aggraver. La demande dépasse de loin l’offre et les prix ne font que flamber.

Un stock en baisse

Depuis 2010, le marché de l'immobilier neuf à Toulouse n’a pas connu pareille crise. En effet, le stock des logements neufs ne cesse de régresser. Avec peu de biens en réserve, il devient difficile de répondre à une demande de plus en plus forte.

Baisse du stock du neuf, baisse des constructions, baisse des ventes, autant d’indices qui annoncent une pénurie à Toulouse. Avec moins de 4 000 logements en stock, la ville rose ne peut plus répondre à la demande.

Pour mieux comprendre l’importance de cette pénurie, il suffit de rappeler quelques chiffres :

- en 2018, la réserve du marché de l’immobilier toulousain comptait autour de 6593 logements neufs.

- le nombre des ventes de logements neufs à Toulouse a baissé de 59% entre le 3^e trimestre de l’année 2019 et la même période de 2021.

Des chiffres qui en disent long sur la pénurie du logement neuf à Toulouse.

En 3 ans, le nombre de logements neufs mis en vente a bien chuté et les chiffres laissent le directeur de l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, Jean-Philippe Jarno, très sceptique.

Des prix qui flambent

Et si la réserve des logements neufs ne répond plus à la demande, il est évident que les prix des biens augmentent, et dans certaines zones de façon vertigineuse. Cette crise s’est accentuée surtout depuis l’été de 2021, car il n’y a plus suffisamment de biens neufs à mettre en vente. Une situation qui n’est pas sans rappeler la crise des Subprimes de 2008-2009. Une crise financière qui a ravagé, entre autres, le marché de l’immobilier aux USA, pour s’étendre à d’autres pays du monde, dont la France. En 2010 et selon les chiffres fournis par l’Observer, le marché de l’immobilier neuf à Toulouse ne comptait à son stock que 2 723 logements.

Il faut savoir qu’en fin 2021, le prix au m², hors parking, a dépassé les 4 000 €, soit une augmentation de 100 € en une année. Une situation insolite.

Toulouse : les problèmes s’enchainent !

La Métropole toulousaine n’est pas à l’abri des crises et des désagréments rencontrés par les autres grandes villes françaises. Le premier problème est la diminution du nombre de biens fonciers mis en vente.

Et comme un peu partout en France, il est de coutume que les permis de construction tardent à se faire livrer, surtout avant et après les élections municipales (2020) et présidentielles (2022).

Autre problème : l’annulation en 2021, par le tribunal administratif de Toulouse, du plan local d’urbanisme de Toulouse, qui devait s’étendre sur 46 000 hectares et concerner 37 communes 

Et pour couronner le tout, la pandémie du Covid continue de paralyser plusieurs secteurs, dont celui de l’immobilier.

Depuis quelques années et selon l’Observer, l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, une crise immobilière revient de nouveau à la surface. En effet, il y a une pénurie des logements neufs qui ne fait que s’aggraver. La demande dépasse de loin l’offre et les prix ne font que flamber.

Un stock en baisse

Depuis 2010, le marché de l'immobilier neuf à Toulouse n’a pas connu pareille crise. En effet, le stock des logements neufs ne cesse de régresser. Avec peu de biens en réserve, il devient difficile de répondre à une demande de plus en plus forte.

Baisse du stock du neuf, baisse des constructions, baisse des ventes, autant d’indices qui annoncent une pénurie à Toulouse. Avec moins de 4 000 logements en stock, la ville rose ne peut plus répondre à la demande.

Pour mieux comprendre l’importance de cette pénurie, il suffit de rappeler quelques chiffres :

- en 2018, la réserve du marché de l’immobilier toulousain comptait autour de 6593 logements neufs.

- le nombre des ventes de logements neufs à Toulouse a baissé de 59% entre le 3^e trimestre de l’année 2019 et la même période de 2021.

Des chiffres qui en disent long sur la pénurie du logement neuf à Toulouse.

En 3 ans, le nombre de logements neufs mis en vente a bien chuté et les chiffres laissent le directeur de l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, Jean-Philippe Jarno, très sceptique.

Des prix qui flambent

Et si la réserve des logements neufs ne répond plus à la demande, il est évident que les prix des biens augmentent, et dans certaines zones de façon vertigineuse. Cette crise s’est accentuée surtout depuis l’été de 2021, car il n’y a plus suffisamment de biens neufs à mettre en vente. Une situation qui n’est pas sans rappeler la crise des Subprimes de 2008-2009. Une crise financière qui a ravagé, entre autres, le marché de l’immobilier aux USA, pour s’étendre à d’autres pays du monde, dont la France. En 2010 et selon les chiffres fournis par l’Observer, le marché de l’immobilier neuf à Toulouse ne comptait à son stock que 2 723 logements.

Il faut savoir qu’en fin 2021, le prix au m², hors parking, a dépassé les 4 000 €, soit une augmentation de 100 € en une année. Une situation insolite.

Toulouse : les problèmes s’enchainent !

La Métropole toulousaine n’est pas à l’abri des crises et des désagréments rencontrés par les autres grandes villes françaises. Le premier problème est la diminution du nombre de biens fonciers mis en vente.

Et comme un peu partout en France, il est de coutume que les permis de construction tardent à se faire livrer, surtout avant et après les élections municipales (2020) et présidentielles (2022).

Autre problème : l’annulation en 2021, par le tribunal administratif de Toulouse, du plan local d’urbanisme de Toulouse, qui devait s’étendre sur 46 000 hectares et concerner 37 communes 

Et pour couronner le tout, la pandémie du Covid continue de paralyser plusieurs secteurs, dont celui de l’immobilier.

Depuis quelques années et selon l’Observer, l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, une crise immobilière revient de nouveau à la surface. En effet, il y a une pénurie des logements neufs qui ne fait que s’aggraver. La demande dépasse de loin l’offre et les prix ne font que flamber.

Un stock en baisse

Depuis 2010, le marché de l'immobilier neuf à Toulouse n’a pas connu pareille crise. En effet, le stock des logements neufs ne cesse de régresser. Avec peu de biens en réserve, il devient difficile de répondre à une demande de plus en plus forte.

Baisse du stock du neuf, baisse des constructions, baisse des ventes, autant d’indices qui annoncent une pénurie à Toulouse. Avec moins de 4 000 logements en stock, la ville rose ne peut plus répondre à la demande.

Pour mieux comprendre l’importance de cette pénurie, il suffit de rappeler quelques chiffres :

- en 2018, la réserve du marché de l’immobilier toulousain comptait autour de 6593 logements neufs.

- le nombre des ventes de logements neufs à Toulouse a baissé de 59% entre le 3^e trimestre de l’année 2019 et la même période de 2021.

Des chiffres qui en disent long sur la pénurie du logement neuf à Toulouse.

En 3 ans, le nombre de logements neufs mis en vente a bien chuté et les chiffres laissent le directeur de l’observatoire du logement neuf de l’agglomération de la Toulouse, Jean-Philippe Jarno, très sceptique.

Des prix qui flambent

Et si la réserve des logements neufs ne répond plus à la demande, il est évident que les prix des biens augmentent, et dans certaines zones de façon vertigineuse. Cette crise s’est accentuée surtout depuis l’été de 2021, car il n’y a plus suffisamment de biens neufs à mettre en vente. Une situation qui n’est pas sans rappeler la crise des Subprimes de 2008-2009. Une crise financière qui a ravagé, entre autres, le marché de l’immobilier aux USA, pour s’étendre à d’autres pays du monde, dont la France. En 2010 et selon les chiffres fournis par l’Observer, le marché de l’immobilier neuf à Toulouse ne comptait à son stock que 2 723 logements.

Il faut savoir qu’en fin 2021, le prix au m², hors parking, a dépassé les 4 000 €, soit une augmentation de 100 € en une année. Une situation insolite.

Toulouse : les problèmes s’enchainent !

La Métropole toulousaine n’est pas à l’abri des crises et des désagréments rencontrés par les autres grandes villes françaises. Le premier problème est la diminution du nombre de biens fonciers mis en vente.

Et comme un peu partout en France, il est de coutume que les permis de construction tardent à se faire livrer, surtout avant et après les élections municipales (2020) et présidentielles (2022).

Autre problème : l’annulation en 2021, par le tribunal administratif de Toulouse, du plan local d’urbanisme de Toulouse, qui devait s’étendre sur 46 000 hectares et concerner 37 communes 

Et pour couronner le tout, la pandémie du Covid continue de paralyser plusieurs secteurs, dont celui de l’immobilier.

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