• Au début de l’année 2020, le marché de l’immobilier a connu une hausse des prix assez importante de quoi faire le bonheur des promoteurs immobiliers. Mais avec la pandémie du Covid-19, cette situation n’a pas tardé à évoluer dans le sens contraire. Un phénomène constaté plus particulièrement dans les grandes villes.

    Une pandémie bouleversante

    La pandémie du Covid-19 a métamorphosé le cours de la vie des Français. Les restrictions qu’elle a imposées n’ont pas été du gout de tout le monde et les conséquences de cette pandémie ont obligé plusieurs personnes à revoir leurs priorités. Et parmi les priorités reléguées au second plan, celle de la propriété immobilière.

    Des confinements étouffants                                               

    Pour fuir les confinements répétitifs imposés suite à la pandémie du Covid-19, plusieurs Français ont déserté les grandes villes. Ils ont fui les espaces cloisonnés pour aller vers un environnement plus ouvert, plus aéré que seules les régions rurales pouvaient leur offrir.

    Un risque de contamination plus important

    Contrairement aux zones rurales, les grandes villes sont les régions où la population est la plus concentrée. Un facteur qui augmente le risque de contamination, et qui fait peur surtout aux personnes à la santé fragile.

    La crise économique

    La pandémie a créé une grande crise économique qui a touché presque tous les secteurs. Plusieurs personnes ont perdu leurs emplois, d’autres ont vu leurs activités professionnelles baisser et par conséquent leurs revenus régresser.

    Une situation qui a eu son impact sur le marché de l’immobilier. La précarité et l’incertitude ne peuvent pas encourager les gens à se lancer dans l’achat d’un bien immobilier. Le futur acheteur n’a pas la garantie d’être en mesure de s’acquitter des charges financières imposées par un éventuel crédit immobilier.

    La chute des prix

    En effet, après l’été 2020, alors que les cas de contamination ont évolué vers une triste progression, les prix des biens immobiliers ont commencé à chuter de façon notoire.

    Selon le baromètre des Meilleurs Agents, en six mois les prix de l’immobilier ont baissé de façon notoire.

    Voici, à titre d’exemples, quelques grandes villes où le prix de l’immobilier a bien chuté :

    • Paris : dans la ville des lumières, les prix des biens immobiliers ont régressé de 2,5%.
    • Toulouse : la baisse des prix dans la ville rose n’est pas loin de ce qu’on a enregistré à Paris. En effet, on observe un recul de 2,2%.
    • Lyon : dans la deuxième ville étudiante de France, l’immobilier n’a pas été épargné : les prix ont chuté de 1,9%.
    • Bordeaux : la cinquième aire urbaine de France n’a pas échappé à la baisse des prix de l’immobilier, avec un taux de 1,1%.

    Mais, il faut dire que cette régression des prix de l’immobilier n’a pas affecté toutes les grandes villes françaises. En effet, en un même laps de temps, soit en six mois, on a constaté une hausse dans d’autres villes, à l’instar de :

    • Strasbourg : +4,5%
    • Rennes : +3,1%
    • Nantes : +2,8%
    • Lille : +1%.

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