La pandémie du coronavirus a déclenché une véritable crise internationale qui a affecté tous les secteurs de la vie active, dont celui de l’immobilier. Néanmoins, à Toulouse, ce marché qui était déjà prospère depuis 2019 continue à bien se développer, comme le montre ce bilan de l’année 2021.
Toulouse est une ville étudiante (classée 1re ville en 2021-2022), dynamique, calme, bien desservie par les transports en commun et recélant un patrimoine culturel très riche.
Question immobilier, ses habitants, avoisinant les 479 553 individus (l’INSEE - 2017), semblent avoir une nette préférence pour les appartements (82% des biens immobiliers). Le nombre des maisons reste relativement bas (16%). Quant au loyer, il est croissant, mais plutôt modéré.
Autant d’atouts qui expliquent l’essor du marché de l’immobilier à Toulouse en 2021. Néanmoins, la demande dépasse souvent l’offre, en dépit des nombreux chantiers de construction de nouveaux biens et de réhabilitation des plus anciens.
En septembre 2021, le prix au mètre carré, dans la ville rose, a augmenté. Il dépasse souvent les 4 000 euros.
On évalue l’impact d’une crise donnée sur le marché de l’immobilier grâce à l’ITI (Indicateur de Tension Immobilière), qui calcule le rapport entre l’offre et la demande et évalue la situation sur les 6 mois à venir.
Trois cas sont envisageables :
À Toulouse, en septembre 2021, on a observé un ITI de 11%, signe que le marché est sous tension et qu’il est très dynamique (une hausse de 0,4%).
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