• Le marché de l’immobilier ne se développe pas de la même manière ni au même rythme d’une région à l’autre. Et du coup, l’accès à la propriété peut différer d’un foyer à l’autre. En Occitanie, par exemple, six ménages sur dix sont propriétaires.

    Occitanie : accès à la propriété 

    Selon une étude menée par l'Insee, 59% des résidents en région occitane ont accès à la propriété, en d’autres termes sur dix ménages, six sont propriétaires de leur résidence principale.

    Mieux encore sur dix ménages installés en région occitane, trois deviennent propriétaires. Et plus on s’éloigne des zones attractives, plus le nombre de propriétaires augmente, pour arriver jusqu’à 70%.

    À ce sujet, les experts en immobilier vous diront que l’accès à la propriété dépend de deux facteurs majeurs : l'âge de l’individu et le nombre de revenus disponibles dans le foyer.

    L’accès à la propriété : une question d’âge

    Toujours selon l’étude de l’Insee, il a été révélé que le taux de propriétaires ayant accès à la propriété, c’est-à-dire qu’ils sont au moins propriétaires de leurs résidences principales, dépend en grande partie de leur âge.  Plus vous êtes âgé, plus vous avez des chances de devenir propriétaire.

    • Individus âgés de moins de 35 ans : 25 % d’entre eux sont propriétaires.
    • Individus âgés entre 35 et 49 : 50 % ont accès à la propriété
    • Individus âgés entre 50 et 64 ans : 68 % sont propriétaires
    • Individus âgés de plus de 64 ans : jusqu’à 78 % d’entre eux possèdent une propriété.

    Accès à la propriété : la nature du ménage

    L’accès à la propriété chez les couples a bien évolué. Dans les années 1970, 52 %  des ménages avaient accès à la propriété. Ce chiffre a augmenté aujourd'hui pour arriver jusqu’à 73 %.

     Par contre, si en 1968, 42% des familles monoparentales avaient accès à la propriété, aujourd’hui, elles n’en sont que 33 %.

    L’exemple de Toulouse et Montpellier

    Contrairement à d’autres grandes villes de la région occitane, dans les métropoles de Toulouse et Montpellier, le nombre de foyers ayant accès à la propriété est plus faible que la moyenne.

    Et depuis 2008, les chiffres ne cessent de baisser, même dans les pôles urbains, éloignés des zones d’attractivité, qui, dans les années1970-1980, ont séduit plusieurs propriétaires.

    Une situation que l’Insee explique par trois facteurs :

    • la hausse des prix du marché immobilier dans ces deux métropoles
    • le pouvoir d'achat des Français
    • la composition des ménages.

    C’est ce qui pourrait d’ailleurs expliquer certains faits :

    • sur l’ensemble des foyers qui ont emménagés vers ces deux villes, 15% seulement sont propriétaires
    • le taux de déménagement sur Toulouse et Montpellier est plus élevé comparé à d’autres communes en Occitanie
    • la plupart des résidences principales sont des appartements
    • la majorité des habitants sont soit des étudiants soit des jeunes.
    • Le revenu des propriétaires dépasse de 60% celui des locataires. Un taux élevé par rapport à la moyenne en Occitanie (40 %).

    Le marché de l’immobilier ne se développe pas de la même manière ni au même rythme d’une région à l’autre. Et du coup, l’accès à la propriété peut différer d’un foyer à l’autre. En Occitanie, par exemple, six ménages sur dix sont propriétaires.

    Occitanie : accès à la propriété 

    Selon une étude menée par l'Insee, 59% des résidents en région occitane ont accès à la propriété, en d’autres termes, sur dix ménages, six sont propriétaires de leur résidence principale.

    Mieux encore sur dix ménages installés en région occitane, trois deviennent propriétaires. Et plus on s’éloigne des zones attractives, plus le nombre de propriétaires augmente, pour arriver jusqu’à 70%.

    À ce sujet, les experts en immobilier vous diront que l’accès à la propriété dépend de deux facteurs majeurs : l'âge de l’individu et le nombre de revenus disponibles dans le foyer.

    L’accès à la propriété : une question d’âge

    Toujours selon l’étude de l’Insee, il a été révélé que le taux de propriétaires ayant accès à la propriété, c’est-à-dire qu’ils sont au moins propriétaires de leurs résidences principales, dépend en grande partie de leur âge.  Plus vous êtes âgé, plus vous avez des chances de devenir propriétaire.

    • Individus âgés de moins de 35 ans : 25 % d’entre eux sont propriétaires.
    • Individus âgés entre 35 et 49 : 50 % ont accès à la propriété
    • Individus âgés entre 50 et 64 ans : 68 % sont propriétaires
    • Individus âgés de plus de 64 ans : jusqu’à 78 % d’entre eux possèdent une propriété.

    Accès à la propriété : la nature du ménage

    L’accès à la propriété chez les couples a bien évolué. Dans les années 1970, 52 %  des ménages avaient accès à la propriété. Ce chiffre a augmenté aujourd'hui pour arriver jusqu’à 73 %.

     Par contre, si en 1968 42% des familles monoparentales avaient accès à la propriété, aujourd’hui, elles n’en sont que 33 %.

    L’exemple de Toulouse et Montpellier

    Contrairement à d’autres grandes villes de la région occitane, dans les métropoles  de Toulouse et Montpellier, le nombre de foyers ayant accès à la propriété est plus faible que la moyenne.

    Et depuis 2008, les chiffres ne cessent de baisser même dans les pôles urbains, éloignés des zones d’attractivité, qui, dans les années1970-1980, ont séduit plusieurs propriétaires.

    Une situation que l’Insee explique par trois facteurs :

    • la hausse des prix du marché immobilier dans ces deux métropoles
    • le pouvoir d'achat des Français
    • la composition des ménages.

    C’est ce qui pourrait d’ailleurs expliquer certains faits :

    • sur l’ensemble des foyers qui ont emménagés vers ces deux villes, 15% seulement sont propriétaires
    • le taux de déménagement sur Toulouse et Montpellier est plus élevé comparé à d’autres communes en Occitanie
    • la plupart des résidences principales sont des appartements
    • la majorité des habitants sont soit des étudiants soit des jeunes.
    • Le revenu des propriétaires dépasse de 60% celui des locataires. Un taux élevé par rapport à la moyenne en Occitanie (40 %).

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